Mes petits textes, esquisses, etc.

Coucou, voilà j'aime bien dessiner et écrire, donc je vais vous montrez deux trois trucs que j'ai fais. Donnez moi votre avis, s'il vous plait. ^^ Par contre, je vous interdit de les utiliser, du moins sans me demander. =)
Premier texte : (par contre, mes textes ne sont pas toujours joyeux)

Douleur, souffrance, atrocités, tels sont les mots de cette soirée. J’ai l’impression que mon monde s’effondre. Il m’a fait découvrir le bonheur, jamais je ne pourrais être aussi heureuse sans lui. Jamais. Tout était parfait, ses paroles rassurantes, sa voix douce, son étreinte… Mais maintenant, il est dans les bras d’une autre. Ils s’aiment. Je me dis que c’est mieux pour lui, qu’il sera plus heureux… Mais je ne peux pas m’empêcher de me dire que j’ai sans doute, encore, tout fait rater. D’un seul coup, une de mes raisons de vivre m’est arraché, ma dose d’héroïne m’est enlevée, comment survivre sans lui, comment combler ce vide ? Tout me semble désormais impossible… Qu’il est beau, son odeur agréable, cette lueur dans les yeux, cette expression sur le visage, ce sourire rayonnant sur ses lèvres sucrées… Qu’il est gentil, ces mots apaisant, m’enlaçant de toutes ses forces… Le seul endroit vraiment sûr sur cette vaste terre détruite, c’est ses bras… Rien ne peut m’arriver quand je suis contre lui, absolument rien… Je l’aime. Lui, il aime cette fille. Je dois l’oublier… Il existe bien un moyen qui a peu de chance de rater… Est-ce que ça vaut la peine d’attendre encore ? Trouverais-je quelqu’un d’autre sur cette planète meurtrie ? Je l’aime toujours, c’est bien la seule chose dont je peux être certaine…

Deuxième texte :

Cette impression d’être vide. Ce sentiment de désespoir, de solitude. Je ne supporte plus, ça dure depuis déjà bien trop longtemps. Rien ne pourra réparer toutes mes erreurs. Personne ne pourra soulager mon cœur meurtri. Un seul moyen : disparaitre. Temporairement, définitivement ? Le plus longtemps possible. Rien ni personne ne me retient ici. La mort m’attend, je le sens, je le veux. Des médicaments, ou un rasoir s’offrent à moi. Saisissant le rasoir, je me dis que c’est le meilleur choix. Je dois souffrir pour payer ce que j’ai fais endurer aux autres. J’enfonce l’objet dans ma peau, qui fait une simple entaille, au début. Puis de plus en plus profond dans ma chair, faisant couler mon sang rouge vif. Je recommence plusieurs fois ce rituel morbide, déchirant ma peau. Je sens mes forces m’abandonner avec mon sang, et dans un dernier effort, plante définitivement la lame dans mon cœur. Le souffle coupé par la douleur, j’attends la mort. Tout devient flou autour de moi, peu à peu le noir m’emporte. La mort arrive enfin, mettant fin à mes souffrances.
On retrouva une seule chose près de moi. « Je t’aimerai toujours. », écrit du sang de mon doigt, avant ma mort. Une dernière et éternelle pensée pour toi, mon amour.

Un dessin de Vincent Valentine, recopié d'une image. (pas décalqué hein xD)

PS : Pour l'espèce d'étoile en bas, ne faite pas attention, ce n'est que ma signature. =)

Dessin de Sephiroth, recopié aussi, pour Baka (a)


Je sais que le dessin c'est pas un truc dans lequel je suis douée, mais justement je m'entraine =)

Merci beaucoup, et j'écrirais peut-être des choses moins sombre... Un jour xD
En tout cas ça me touche =X

Edit : Un texte, pour toi, ma Saki, puisque tu voulais du moins sombre :
Il fait nuit. Pour une fois, je ne suis pas seule. Je ne suis pas isolée, dans mon lit, à me lamenter. A entendre les battements de mon cœur gelé et écorché. Cette fois, il est avec moi. Scott. Il me serre dans ses bras, la chaleur de son cœur me réchauffe. Je suis heureuse, si heureuse. Il est parfait, tout est parfait, quand il est là. Son odeur, sa douceur, sa chaleur, sa voix, son contact… Je pourrais vivre ce moment toute ma vie, sans jamais m’en lasser. Il remet une de mes mèches derrière mon oreille, et me chuchote tendrement un ‘Je t’aime’, si émouvant que j’ai peur de me mettre à pleurer. En réponse, je lui effleure les lèvres, et y dépose un doux baiser. Dans ses bras, j’ai l’impression d’être une poupée de porcelaine, qu’il protège de toutes ses forces, de peur de me casser en deux. Je l’aime. Je l’aime. Je l’aime, et il est tout ce qui compte.

Des avis ?

Héhé, pas de problèmes =P
Merci encore (L)

Haaan comment elle est trop forte ma Béa Tes dessins sont magnifiques (merci pour la décidasse ça m'a beaucoup touché ^^)
J'adore tes textes aussi, c'est vrai qu'ils sont un peu sombres mais après tout ils sont très bien écrits. Je les trouve superbes.

Bon puisque je suis arrivée après Saki je serai... Première Seconde Fan Officielle de Béa

Je t'aime toi et tes jolis dessins de FF (LLLL)

Edit: Encore merci pour ce beau dessin de Séphy ;P
Qu'est ce qu'il est sexy.........Hein? j'ai dit quelque chose?

Merci beaucoup (L)
Après, si ils sont sombres, c'est que les émotions fortes, comme la déprime aident à l'inspiration. ^^
& de rien pour la dédicace, je te dois bien ça. =D

C'est vrai que tu as beaucoup d'inspiration, tu m'impressionnes En tout cas t'as pas à déprimer y'a Saki et moi, les autres puis y'a Séphy aussi =D
Séphy: T_T"

Edit: Merci merci encore est-ce que je peux me l'enregistrer?

re-Edit: Je t'aime (L)

D'où tu sort que j'ai ridiculisé Kad'?!! je l'aime moi aussi è_é

Première Seconde Fan Officielle Mais Quand Même Première de Béa soit PSFOMQMPB u_u

Bien sûr Baka ^^

Saki, j'avais pas encore hebergé la photo, la voila :



Suivie d'un nouveau texte :
Se sentir vide, seule. Ils ne comprennent pas. Personne ne voit mon désespoir… Je prends trop mes rêves pour la réalité, alors qu’ils sont juste fait pour être rêvés… Le passé me poursuit, me rattrape, et jamais ne me lâche. Je ne peux vivre sans, et m’attache aux souvenirs qu’il me reste. Je vis dans le passé, regrette mes erreurs, et me bloque là-dessus. Celui qui me délivrera n’est pas né. Il n’existe pas. Parait que j’ai l’air envahi par mes amis, alors que la solitude me ronge. Est-ce moi qui donne cette impression, ou les gens qui ne comprennent pas, qui sont aveugles ? De toutes façons, ils ne peuvent pas comprendre. Personne ne vit exactement la même chose que moi, comme je ne vis pas exactement la même chose qu’eux. Ici, c’est chacun pour soi. Cœur brisé, gelé, manipulé… Comment me détacher du passé, comment arrêter de prendre mes rêves pour la réalité ? Plutôt que de continuer sur le droit chemin, je marche à reculons… Je suis tout simplement seule, seule sur cette route.

Voilà voilà, impressions ? =)

Han merci, j'avais pas vu, j'ai édité xD

Un nouveau texte, merci Saki qui m'a donné de l'inspi ;P
Parfois, j’aimerais disparaitre, être complètement effacée… Retourner à zéro, pouvoir recommencer. Ne plus refaire toutes ces erreurs. Pouvoir effacer les lignes que j’ai écrite, le chemin que j’ai fais, la vie que j’ai mené. Perdre ce sentiment de culpabilité, celui d’être seule et pas aimée… Peut-être ferais-je les même erreurs, ou pire encore, mais j’aurais au moins essayé. Je ne veux plus entendre ces voix, en moi, qui me disent que j’ai tout gâché. Que je fais autant de mal. Que je mens si souvent… Plus qu’une simple envie, un véritable désir de disparaitre…

*gros bisous* =P
Bon, nouveau dessin, et nouveau texte =) Jamais été aussi productive xD

(désolée de la qualité, mais il a passé la journée dans mon sac)
Nuit noire :
Je marchais, seule. Le soleil se levait, l’air était frais, et je frissonnais souvent. En arrivant au coin de la rue, je reconnus une voix : celle de ma meilleure amie, Lucy. Le temps d’arriver près de son petit groupe, j’entendis une bribe de conversation :
« Elle est vraiment trop naïve… commença Lucy.
- Ouais, ça ferait presque peur ! enchérit Anaïs, une autre amie.
- Vous parlez de Layla ? intervint une voix.
- Ouais, t’es pas d’accord ? riposta Lucy.
- Si ! Un vrai thon, c’est pas croya…
C’est là qu’elles me virent. J’avais les larmes aux yeux, mais je me mordais les joues jusqu’au sang pour ne pas pleurer. Layla Turuk, c’était moi. Profondément blessée, je courus vers l’entrée du collège, pour ne pas croiser leurs regards. Personne ne tenta de me rattraper, ni même de voir comme j’allais.
Je ne suivis rien des cours, pensant bien trop à mes amies… Ou du moins, celles qui prétendaient l’être. Je leurs disais tout, leurs confiais le moindre de mes secrets. Et elles qui me trahissaient, depuis le début… Ca me faisait mal, si mal… Mais je ravalais mes larmes. Je devais vraiment apprendre à ne plus faire confiance… La sonnerie retentit, interrompant ma ‘rêverie’. Je me dirigeais vers le sans, sans trop y réfléchir, par habitude. Je ne sais pas combien d’heures j’ai passé dans cet état, seule avec mes pensées. Je ne touchais pas une miette de la nourriture, et restais dans mon coin. J’entendis des personnes chuchoter des choses sur moi, et ce n’était pas très discret. Ils essayaient sans doute de parler juste assez fort pour que ça me blesse. D’autres me pointaient du doigt. A ce moment, je vis mon petit ami arriver. Ca eu pour effet de me détendre, il allait venir avec moi, me réconforter, et avec lui tout irait mieux, je l’aimais tellement… Mais, plutôt que de venir s’assoir avec moi, il alla avec ceux qui se foutaient de moi. C’est comme si il était venu casser en face avec moi, mais en bien pire. Est-ce qu’il m’a aimé, au moins un petit peu, ou jouait-il la comédie comme les autres, depuis le début ? Je rangeais mon plateau, puis sortie du self pour aller aux derniers cours de la journée, la plus indifférente possible. Ils furent comme les premiers, et je ne pus pas me concentrer une seconde. A la sortie, Lucy s’approcha de moi, et commença à me parler :
« Ecoute, Layla, je suis désolée…
- C’est bon, je veux rien savoir.
- Mais…
- Ta gueule ! Je te faisais confiance, mais tu te foutais de moi !
- Je regrette, tu sais…
Là, j’entendis ses amis rire. C’en était trop, je n’en supporterais pas plus. Je rentrais chez moi à grand pas, sans un mot de plus. Une fois arrivée, je me rendis compte que j’étais seule chez moi. Mes parents devaient passer chercher mon frère au lycée, et ils ne rentreraient pas avant une demi-heure. Je me dirigeais vers la cuisine, et saisis un couteau, avant de le faire frôler ma peau lisse, et pâle. Puis, petit à petit, je l’enfonçais dans ma chair… La douleur m’envahit, me coupant la respiration par moment. Mes larmes ruisselaient le long de mon visage, comme le sang le long de mon bras… Quand, soudain, j’entendis un grondement de moteur dans l’allée. Ma famille arrivait. Paniquée, je rinçais rapidement la lame, puis montais en courant dans ma chambre. Je savais que mes parents ne s’inquièteraient pas, et n’insisteraient pas, alors quand ils m’appelèrent pour le dîner, je leurs dis que je n’avais pas faim. C’était vrai, et surtout mes plaies saignaient encore. Je décidais donc de passer la soirée dans ma chambre. Demain, je ferais comme si tout allait bien. J’avais horreur de faire semblant, mais j’étais obligée. Au milieu de la nuit, j’entendis quelqu’un ouvrir la porte doucement. Pensant que c’était mes parents, je mis ma couette sur ma tête discrètement, faisant mine de dormir. Mais je reconnus rapidement la présence de mon grand frère : Nicolas. Il vint s’allonger près de moi. Je sentis mes larmes couler, mais il les effaça du revers de la main. En me câlinant gentiment, il remonta sa main le long de mes bras pour me faire un bisou sur le cou, mais il toucha une de mes blessures. Je pensais qu’il allait m’en vouloir, et partir sans un mot, mais à la place, il me porta jusqu’à la salle de bain, et soigna mes plaies. Je baissais les yeux pendant qu’il les nettoyait, ne sachant pas quoi dire. Il était si gentil… Une fois ce ‘travail’ finit, il me prit à nouveau dans ses bras, et me ramena dans mon lit. Je lui racontais tout, ce qui s’était passé, ce que j’avais ressenti… Mes larmes coulaient librement sur mon visage, et il me serra contre lui de toutes ses forces. Je me sentis tellement bien avec mon frère, il me protégeait… Après, il me caressa les cheveux, en m’embrassant la joue.
« Je t’aime… murmura-t-il, les larmes aux yeux, à force de me voir dans cet état.
- Moi aussi… répondis-je, doucement.
Je finis par m’endormir, dans ses bras. Être avec lui était si agréable… Il était tout ce que j’avais, ma seule et unique raison de vivre. Mais, en me réveillant, il n’était plus là. Ce n’était qu’un rêve, celui de ne plus être seule, d’être protégée et aimée, celui d’avoir un grand frère.

Merci, ça me fait plaisir... Mais ça me ferait encore plus plaisir si ça te mettait pas les larmes aux yeux. Je t'aime. (L)

C'est vrai que je poste ce message un peu trop tard mais je tiens à dire que tu écris toujours aussi bien
Merci de faire d'aussi jolis textes!

Edit: raaah et j'adore ton dessin è_é

re-Edit: je posterai peut être quelque uns de mes dessins un peu plus tard. Ce ne sont pas des oeuvres d'art ce sont seulement des choses stupides qui me passent par la tête...Mais l'art est libre n'est-ce pas? ;P

Bah j'ai du réviser toute la semaine è_é

Ouais j'l'ai posterai bientôt, mais je te préviens, ils sont très petits puis complètement euuuh.....on voit bien que c'est de moi quoi

Et toi tu dessines?

vui très fidèle à moi même. Je SUIS le dessin. Je VIS le dessin.
Bah tu peux pas savoir, essaye toujours. Moi je dessine certaines choses plutôt bien, d'autres très mal. Mais autant essayer, si c'est nul j'le cache avant que quelqu'un le voit xD (je dessine en cours pour passer le temps)

Bah le cm2 c'est le cm2 quoi! Là t'as grandi. Tu dessines peut être mieux non? Ou peut être serait-tu allé au pays imaginaire?

Edit: faudrait aller sur le bar à flood pour ça sinon on va encore foutre le bazar